🐓 Dépités des déchets

Coucou !

Today, we’re spending time with some atypical social media stars - two garbagemen ou éboueurs in French. They’re using their platforms to advocate for their profession and inspire people to make better choices for th environment.

Speaking of things you might toss in the trash, some Olympics medalists are sending their medals back. Read until the end of today’s edition to find out why.

— Dorianne

Ludovic Franceschet et Diame Cissé sont deux éboueurs devenus influenceurs sur TikTok. Ludovic, éboueur parisien, dénonce les incivilités et se bat pour un comportement éco-responsable. En 2023, il a marché le long de la Nationale 7 pour ramasser des déchets, et en 2024, il a continué son message en ligne.

De son côté, Diame Cissé, alias « La vie des éboueurs », a publié une vidéo en décembre 2024 qui montre les montagnes de déchets après les fêtes. Son désarroi a captivé les réseaux sociaux, et a mis en lumière le fardeau des éboueurs face à la surconsommation.

Ces deux hommes montrent comment des travailleurs de l’ombre utilisent les réseaux sociaux pour sensibiliser à la réduction des déchets et à l’importance de pratiques responsables.

Clara : Tu as vu la vidéo de Diame Cissé sur TikTok ? Il montre des montagnes de déchets partout. Il dit que les éboueurs travaillent trop après les fêtes parce que les gens jettent tout. C’est vrai, non ? Les emballages, les cartons, les vieux cadeaux… On achète beaucoup, et après, on ne sait pas quoi faire avec tout ça. Alors, les éboueurs doivent tout prendre, et personne ne pense à eux.

Julien : Oui, c’était choquant. Il a aussi utilisé une expression que j’ai trouvée belle : « un travail de l’ombre ». Ça veut dire qu’ils font un travail essentiel, mais on ne les remarque jamais. C’est injuste. Et après Noël, c’est encore pire. Les gens achètent trop, et ça crée des tonnes d’ordures. On devrait consommer moins. Par exemple, éviter les produits avec trop d’emballages et recycler plus souvent.

Clara : Oui, tu as raison. Les éboueurs méritent plus de respect. Moi, je vais réfléchir à ce que j’achète. Peut-être que je peux commencer par ne pas acheter des choses inutiles. Et si on en parlait à nos amis ? On pourrait les convaincre de faire pareil.

Clara : Tu as vu ces éboueurs très connus en ligne ? Ils utilisent les réseaux sociaux pour parler de leur travail. Tu as vu leurs vidéos ?

Julien : Oui, je les ai regardées. Je trouve que Ludovic, avec son projet sur la Nationale 7, a montré à quel point les déchets envahissent nos routes. Ce n'est pas juste un problème de propreté, c'est une question de consommation. On produit trop de choses qu'on ne peut pas recycler.

Clara : Et Diame, il a été incroyable avec sa vidéo après les fêtes. Son expression, "on est pas des animaux", était juste. Les gens ne réalisent pas à quel point les éboueurs sont essentiels. Ils travaillent sans qu’on les remarque, et pourtant, ils font une grande différence dans notre quotidien.

Julien : Exactement. Et ce que j’apprécie chez eux, c’est qu’ils ne se contentent pas de critiquer. Ils proposent des solutions concrètes. Ludovic parle beaucoup de tri et de recyclage, alors que Diame insiste sur l’importance de réduire les emballages inutiles. C’est une vraie prise de conscience.

Clara : Je pense qu’on devrait partager leurs vidéos avec nos amis. On pourrait peut-être organiser une journée de ramassage dans notre quartier. Tu en penses quoi ?

Julien : J’ai fait des ramassage de déchets au bord de la mer, c’était chouette! Mais ici dans la rue, je ne suis pas certain de me sentir à l’aise de le faire.